Et moi plutôt en bleu
Voici les premiers aperçu du résultat en cabine ...

Et moi plutôt en bleu







Comme on peut le voir sur la photo, des températures de 127 degrés Celsius ont été atteintes dans le nez de l'avion à cause de la friction avec l'air. À vitesse maximale, la température pourrait atteindre plus de 150 degrés Celsius dans le nez.
Ce chauffage a allongé le fuselage jusqu'à 30 centimètres, ce qui représente jusqu'à 0,5% de la longueur originale de l'avion au sol. Quand il s'est refroidi, le Concorde est revenu à sa longueur d'origine.
Les températures atteintes étaient telles que même la peinture jouait un rôle important. La peinture a été conçue pour dissiper la température de la surface de l'avion et ne pouvait être que blanche.
Si l'avion n'était pas peint en blanc, la vitesse devait être réduite car la chaleur générée n'était pas dissipée. De plus, la peinture était souple : de cette façon, les fissures ne se sont pas produites lorsque l'avion s'est étiré.

ça fera toujours plus drôle que de le voir rouiller et prendre l'eau.stlu a écrit : 30 mai 2024 11:31 C'est beau ... ça va faire drôle de bien rayer tout ça dans les chemins!






Effectivement tout est détaillé ici : viewtopic.php?p=225033#p225033vieux-new-one a écrit : 13 nov. 2024 11:37 ...
Un petit plan serait bien, je suppose que tu as fais ça en 3 dimensions avec vue panoramique...! Chapeau l'artiste.
Cdt
Yves



BaptisteCadilhon a écrit : 14 oct. 2025 19:13 Salut, est-ce que ton carrossier a repris les appuis (gouttière, je sais pas trop quel est le bon terme) en tôle qui supportent la réhausse en fibre ? Je viens d'aller voir un B qui a ces appuis pourris aux quatre coins...
Ca ne m'a pas l'air facile à restaurer. La réhausse fibre est collée j'imagine ?
Sinon, sacré boulot que tu as fait sur ton B![]()

