Bonjour
Bienvenue sur BMH. Lu votre blog. Beau projet.
J'ai eu la même démarche, profiter d'être en bonne forme pour profiter de la vie avant que les années aient raison de ma liberté physique.
Avant de partir (ce n'était pas encore le temps du net) j'ai eu plus de questions sur ma retraite et ma sécu que sur mon futur voyage. Heureusement, sinon nous serions trop nombreux à vadrouiller...
Ce que je ne savais avant de partir (entre autres...

) :
- mon itinéraire s'est déroulé à la vitesse d'un escargot arthritique... (escale de 4 mois au lieu de 4 semaines, marche AR pour retourner des milliers de km en AR parce qu'il y avait une goût de revenez y incontrôlable, etc... ) Avec une conséquence probable : le petit cochon n'était pas assez gras au départ... Les métiers pour lesquels il y a une demande quasi universelle sont ceux tournant autour de l'informatique et du médical avec la contrainte de la langue. On peut aussi mettre le camion dans un hangar pour deux ans et revenir travailler en France le temps d'engraisser à nouveau le petit cochon.
- mais... si on est adroit de ses mains on peut gagner de l'argent quasi partout dans le monde car nous travaillons (en principe) avec un état d'esprit de "pays développé", nous sommes formatés à la qualité, aux belles finitions, à la précision, notre "culture technique" est en général assez large, etc... et ce que nous produisons avec nos mains est en général immédiatement reconnaissable et recherché par ceux qui ceux qui sont prêts à payer pour

(donc pas au salaire du smic local) Ne pas attendre d'être à sec... les opportunités se prennent quand elles se présentent (elles disparaissent bizarrement quand il y a nécessité) et savoir que c'est la meilleure manière d'établir une relation avec les habitants grâce à une vraie immersion locale.
Cordialement
Yves