Voyage 2018 En Islande avec Obelix (B90 4x4)
Re: Voyage 2018 En Islance avec Obelix (B90 4x4)
Bonjour à vous,
J'avais pas encore fait attention à ce post.
Vos photos et vidéos sont superbes, bravo et merci pour le partage.
Ma boussole m'indique presque toujours le sud, mais ces grands espaces sont vraiment beaux à couper le souffle... Juste une question, vous ne parlez pas trop des Islandais, hors mis les difficultés liées à la langue, quelques contacts sont possibles ?
Bon week end
J'avais pas encore fait attention à ce post.
Vos photos et vidéos sont superbes, bravo et merci pour le partage.
Ma boussole m'indique presque toujours le sud, mais ces grands espaces sont vraiment beaux à couper le souffle... Juste une question, vous ne parlez pas trop des Islandais, hors mis les difficultés liées à la langue, quelques contacts sont possibles ?
Bon week end
Re: Voyage 2018 En Islande avec Obelix (B90 4x4)
C'est vrai qu'à des moments le ciel était couvert, mais le temps change trés trés vite dans la mémé journée.Famille Cromagnon a écrit :le ciel souvent menaçant,
Sur les 10 premiers jours, nous avons eut 5-6 jours très bien ensoleillé, 1jours assez pluvieux et 3-4 jours plutôt nuageux ou couvert mais sans pluie.
Mais nous le savions avant de partir, l'Islande est à la limite du cercle polaire. Il plutôt frais malgré l'influence du Gulfstream.
C'est un passage des dépressions du nord de l'Europe, surtout cette année avec le temps anticyclonique sur l'Europe de l'Ouest.
Les Islandais parlent tous Anglais. Donc pas trop de difficultés pour communiquer. Les contacts sont possible. Contrairement à ce que l'on pourrait penser, les Islandais sont ouverts. Mais il est vrai que l'on noue plus de contacts avec les autres voyageurs qu'avec les Islandais. Il faut dire que dans les zones reculées d'Islande, on rencontre plus de touristes que d'Islandais de pures souchesluc a écrit :Juste une question, vous ne parlez pas trop des Islandais, hors mis les difficultés liées à la langue, quelques contacts sont possibles ?
Re: Voyage 2018 En Islande avec Obelix (B90 4x4)
J11
Grand soleil au réveil, mais la météo annonce un bon coup de vent en fin de journée.
Nous partons pour la visite de la pointe de péninsule de Snæfellsnes.
Après un petit bout de piste accessible en 4x2, nous arrivons à l’extrémité Ouest de la péninsule.
Nous déambulons en bord de mer afin de voir les phares de Öndverðarnes et Svörtuloft. Lors de cette ballade, nous apercevons l’aileron que nous supposons d’un orque. Nous avons attendu de longues minutes en espérant le voir plonger ou sauter, mais en vain. Un peu plus tard, au milieu d’une ancienne coulée de lave, nous voyons notre premier renard arctique. Après une rapide montée au sommet de l’ancien volcan Saxhóll afin de profiter d’une superbe vue panoramique de la région, nous nous dirigeons vers la plage de Djúpalónssandur. Cette plage a été le lieu du naufrage d’un bateau, il reste quelques vestiges de celui-ci sous formes de plaque d’acier rouillées. L’endroit est très reposant avec la mer en image de fond. La zone comporte de multiples chemins pour faire quelques jolies ballades permettant d’admirer le volcan Snæfellsjökull, connu pour le récit de Jules Verne, Voyage au centre de la terre. En fin de journée, la météo ne ce n’était pas trompée. Le vent se lève, de manière assez forte. Je pense que ça devait souffler à plus de 100 km/h, j’avais du mal à marcher face au vent.
A l’arrêt nous avions l’impression d’être secoué comme dans un panier à salade, les enfants sont peu rassurés. Nous décidons de reprendre la route de manière très prudente, lors des rafales, la prise au vent de notre camion se faisait sentir.
Par prudence, nous décidons de revenir au camping qui avait des emplacements protéger du vent.
Grand soleil au réveil, mais la météo annonce un bon coup de vent en fin de journée.
Nous partons pour la visite de la pointe de péninsule de Snæfellsnes.
Après un petit bout de piste accessible en 4x2, nous arrivons à l’extrémité Ouest de la péninsule.
Nous déambulons en bord de mer afin de voir les phares de Öndverðarnes et Svörtuloft. Lors de cette ballade, nous apercevons l’aileron que nous supposons d’un orque. Nous avons attendu de longues minutes en espérant le voir plonger ou sauter, mais en vain. Un peu plus tard, au milieu d’une ancienne coulée de lave, nous voyons notre premier renard arctique. Après une rapide montée au sommet de l’ancien volcan Saxhóll afin de profiter d’une superbe vue panoramique de la région, nous nous dirigeons vers la plage de Djúpalónssandur. Cette plage a été le lieu du naufrage d’un bateau, il reste quelques vestiges de celui-ci sous formes de plaque d’acier rouillées. L’endroit est très reposant avec la mer en image de fond. La zone comporte de multiples chemins pour faire quelques jolies ballades permettant d’admirer le volcan Snæfellsjökull, connu pour le récit de Jules Verne, Voyage au centre de la terre. En fin de journée, la météo ne ce n’était pas trompée. Le vent se lève, de manière assez forte. Je pense que ça devait souffler à plus de 100 km/h, j’avais du mal à marcher face au vent.
A l’arrêt nous avions l’impression d’être secoué comme dans un panier à salade, les enfants sont peu rassurés. Nous décidons de reprendre la route de manière très prudente, lors des rafales, la prise au vent de notre camion se faisait sentir.
Par prudence, nous décidons de revenir au camping qui avait des emplacements protéger du vent.
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Re: Voyage 2018 En Islande avec Obelix (B90 4x4)
Salut à tous
Hé ben, sacrés coups de vent qui sont fréquents donc....
Ce ne doit pas être facile tous les jours de dormir dans une tente de toit, pour ceux qui y vont avec ce moyen de couchage ...
Pour l'aileron, pas un Orque, leurs dorsales sont beaucoup plus longues et effilées....Mais on pencherait plus pour un requin pèlerin...
Joli le renard, pas trop farouche ?
Hé ben, sacrés coups de vent qui sont fréquents donc....
Ce ne doit pas être facile tous les jours de dormir dans une tente de toit, pour ceux qui y vont avec ce moyen de couchage ...
Pour l'aileron, pas un Orque, leurs dorsales sont beaucoup plus longues et effilées....Mais on pencherait plus pour un requin pèlerin...
Joli le renard, pas trop farouche ?
Si tout le monde avait été contre l'évolution, on serait encore dans les cavernes à téter des grizzlys domestiques. de Boris Vian
Re: Voyage 2018 En Islande avec Obelix (B90 4x4)
Avec une tente de toit, plus que le vent, c'est l'humidité qui pose problème.Famille Cromagnon a écrit :Ce ne doit pas être facile tous les jours de dormir dans une tente de toit, pour ceux qui y vont avec ce moyen de couchage
Quand sa souffle fort, qu'on soit dans une tente (de toit ou normale), dans un fourgon ou camion, la nuit est dans tout les cas mouvementée.
J'avais oublié que les requins fréquentés les eaux islandaise. Il y a mème une spécialité culinaire Islandaise à base de viande de requin fermentée, pour ne pas dire pourrie: le hákarlFamille Cromagnon a écrit :Pour l'aileron, pas un Orque, leurs dorsales sont beaucoup plus longues et effilées....Mais on pencherait plus pour un requin pèlerin
Normalement, ils sont assez curieux et peu farouche. Celui-ci était plutôt méfiant.Famille Cromagnon a écrit :Joli le renard, pas trop farouche ?
Re: Voyage 2018 En Islande avec Obelix (B90 4x4)
J12
Nous profitons d’un deuxième jour sur la péninsule de Snæfellsnes., direction le sud de celle-ci.
Nous prenons la route gravel 570 qui passe au plus près du volcan Snæfellsjökull. Cette piste est facile et ne présente pas de difficulté, elle est accessible au 4x2, nous y croisons même un camping-car de location. C’est une route à faire, elle est superbe. La vue panoramique, lors de la descente vers la mer, est à couper le souffle. Il faut compter une bonne heure, voir deux pour faire l’ensemble et profiter des différents arrêts. Attention, cette route ouvre souvent tardivement. Arrivé au bord de mer, il faut prendre un peu de temps afin de faire une petite ballade entre Arnarstapi et Hellnar. Cette marche d’environ 4 km permet de découvrir de beaux points de vue sur la côte ainsi que de jolies formations de lave. Nous profitons pour prolonger la visite côtière jusqu’aux sculptures de basalte de Lóndrangar. Le site est sympa et à voir. Nous reprenons la route afin de voir une autre curiosité, le canyon de Rauðfeldsgjá. Après une petite marche de 15 mn, nous arrivons à son entrée. Mais, il est impossible de pénétrer très en profondeur de celui-ci en remontant le ruisseau, des accumulation de neige empêchent toute progression. C’est bientôt la fin de la journée et nous nous nous dirigeons vers un des endroits les plus photographié de la péninsule : Le mont Kirkjufell. Il y a beaucoup de monde à mon goût, il faut dire que l’endroit est superbe en fin de journée. Nous sommes restés deux jours pour visiter la péninsule de Snæfellsnes , mais je pense que si l’on souhaite en profiter pleinement trois jours sont nécessaires. Cette partie de l’Islande est vraiment superbe.
Nous profitons d’un deuxième jour sur la péninsule de Snæfellsnes., direction le sud de celle-ci.
Nous prenons la route gravel 570 qui passe au plus près du volcan Snæfellsjökull. Cette piste est facile et ne présente pas de difficulté, elle est accessible au 4x2, nous y croisons même un camping-car de location. C’est une route à faire, elle est superbe. La vue panoramique, lors de la descente vers la mer, est à couper le souffle. Il faut compter une bonne heure, voir deux pour faire l’ensemble et profiter des différents arrêts. Attention, cette route ouvre souvent tardivement. Arrivé au bord de mer, il faut prendre un peu de temps afin de faire une petite ballade entre Arnarstapi et Hellnar. Cette marche d’environ 4 km permet de découvrir de beaux points de vue sur la côte ainsi que de jolies formations de lave. Nous profitons pour prolonger la visite côtière jusqu’aux sculptures de basalte de Lóndrangar. Le site est sympa et à voir. Nous reprenons la route afin de voir une autre curiosité, le canyon de Rauðfeldsgjá. Après une petite marche de 15 mn, nous arrivons à son entrée. Mais, il est impossible de pénétrer très en profondeur de celui-ci en remontant le ruisseau, des accumulation de neige empêchent toute progression. C’est bientôt la fin de la journée et nous nous nous dirigeons vers un des endroits les plus photographié de la péninsule : Le mont Kirkjufell. Il y a beaucoup de monde à mon goût, il faut dire que l’endroit est superbe en fin de journée. Nous sommes restés deux jours pour visiter la péninsule de Snæfellsnes , mais je pense que si l’on souhaite en profiter pleinement trois jours sont nécessaires. Cette partie de l’Islande est vraiment superbe.
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Re: Voyage 2018 En Islande avec Obelix (B90 4x4)
Salut à tous
Des paysages sauvages qui nous donnent bien envie, mais le vent et le froid et en plus la viande de requin presque pourrie.....
......Un jour peut être....
Des paysages sauvages qui nous donnent bien envie, mais le vent et le froid et en plus la viande de requin presque pourrie.....
......Un jour peut être....
Si tout le monde avait été contre l'évolution, on serait encore dans les cavernes à téter des grizzlys domestiques. de Boris Vian
Re: Voyage 2018 En Islande avec Obelix (B90 4x4)
J13
Aujourd’hui, c’est journée roulage et ravitaillement avant de rejoindre les fjords du Nord-Ouest.
Nous nous arrêtons à STYKKISHÓLMUR afin de faire le plein du frigo , mais aussi de profiter d’un bon repas au restaurant « sjavarpakkhusid ». C’est un super restau tenu par des jeunes, le service est parfait et les plats superbement préparés avec de jolies saveurs. A ne pas manquer dans le coin.
Ce village de pécheur est agréable, il fait bon y flâner. On peut grimper vers le phare afin d’avoir une vue sur l’ensemble de la baie avec ses multiples petits ilots. Pour rejoindre les fjords du Nord-Ouest de ce village, il y a possibilité de prendre un bateau qui nous amène directement à Flókalundur. Le temps de traversée est d’environ 3 heures. Par la route, il faut compter au minimum 4 heures. On « gagne » au minium 1h00, mais le coût est élevé ( 80€ pour le véhicule et 40€ par adultes, soit plus de 150€ pour gagner une petite heure). Nous préférons choisir l’option route afin de profiter des jolis paysages côtiers. Nous trouvons un coin pour dormir juste en bord de mer à côté d’une ancienne piste d’atterrissage désaffectée.
Aujourd’hui, c’est journée roulage et ravitaillement avant de rejoindre les fjords du Nord-Ouest.
Nous nous arrêtons à STYKKISHÓLMUR afin de faire le plein du frigo , mais aussi de profiter d’un bon repas au restaurant « sjavarpakkhusid ». C’est un super restau tenu par des jeunes, le service est parfait et les plats superbement préparés avec de jolies saveurs. A ne pas manquer dans le coin.
Ce village de pécheur est agréable, il fait bon y flâner. On peut grimper vers le phare afin d’avoir une vue sur l’ensemble de la baie avec ses multiples petits ilots. Pour rejoindre les fjords du Nord-Ouest de ce village, il y a possibilité de prendre un bateau qui nous amène directement à Flókalundur. Le temps de traversée est d’environ 3 heures. Par la route, il faut compter au minimum 4 heures. On « gagne » au minium 1h00, mais le coût est élevé ( 80€ pour le véhicule et 40€ par adultes, soit plus de 150€ pour gagner une petite heure). Nous préférons choisir l’option route afin de profiter des jolis paysages côtiers. Nous trouvons un coin pour dormir juste en bord de mer à côté d’une ancienne piste d’atterrissage désaffectée.
Re: Voyage 2018 En Islande avec Obelix (B90 4x4)
J14
Nous continuons notre route vers les fjords du Nord-Ouest, direction la plage de Rauðasandur.
La route longe la mer, elle permet d’avoir de superbes vues. Cette partie de l’Islande est beaucoup moins touristique, plus tranquille, l’Islande comme on l’aime. Les enfants étant des adeptes des hotpot, on s’arrête à celui de Hellulaug. Il est situé en bord de mer. L’accès est facile, un parking en bord de route permet de se garer pour profiter pleinement de celui-ci L’eau est à une température idéale, sans doute autour de 38-40°C, avec une belle vue le fjord et la mer. Au bout d’une bonne heure passée à se délasser dans l’eau, il faut se décider de reprendre la route. Nous faisons un petit stop pour voir le bateau Gardar. Contraire à ce que l’on pourrait penser, ce bateau mis à l’eau en 1912, ne s’est pas échoué involontairement lors d’une tempête. A l’origine, il était utilisé pour la chasse à la baleine, mais dans le milieu des années soixante il fut utilisé pour une pêche plus classique. Au fils des années et des différents propriétaires, il devint de moins en moins rentable et surtout vieillissant. En 1981, ses membres d’équipage, ont volontairement échoué le bateau sur cette plage au lieu de le saborder en pleine mer ou de l’abandonner dans un port.
Ce lieu, comme l’épave du DC3 dans le sud, est prisé par les photographes. Il faut dire qu’il est surprenant de voir cette épave posée sur cette bande de sable au détour d’un virage. Il est possible de bivouacquer sur ce grand parking au pied bateau, mais nous décidons de continuer un peu notre route.
L’arrivée sur la grande plage de Rauðasandur se fait par une route gravel avec beaucoup de nids de poule et par une belle descente, avec des parties à plus de 15-20%. La vue est grandiose sur la cette baie de sable. Nous profitons du temps encore clément pour se balader sur cette grande plage. On peut lire sur certain récits ou guides que le sable est de couleur rougeâtre ou orangé. Honnêtement, ce n’est pas vraiment le cas, c’est le flux et reflux de la marée qui inonde cette grande plage, rendant le sable humide, qui donne cette couleur plutôt orangé à la plage. Quant aux phoques qui sont soit disant présent vers le camping, nous ne les avons pas vu…..
Pour profiter de cet endroit, on peut se diriger vers la droite en arrivant après environ 3-4 km, on peut se garer sur un petit parking. Une marche d’environ 15mn à travers les prés permet l’accès à la plage. L’autre solution est de diriger vers la gauche, en direction du camping, dans ce cas l’accès à la plage est quasi immédiat.
Dans les deux cas, cette grande plage de sable d’une dizaine de kilomètres de long avec les montagnes en arrière-plan est un coin à ne pas manquer. L’idéal est d’y passer la nuit pour profiter du coucher du soleil.
Nous continuons notre route vers les fjords du Nord-Ouest, direction la plage de Rauðasandur.
La route longe la mer, elle permet d’avoir de superbes vues. Cette partie de l’Islande est beaucoup moins touristique, plus tranquille, l’Islande comme on l’aime. Les enfants étant des adeptes des hotpot, on s’arrête à celui de Hellulaug. Il est situé en bord de mer. L’accès est facile, un parking en bord de route permet de se garer pour profiter pleinement de celui-ci L’eau est à une température idéale, sans doute autour de 38-40°C, avec une belle vue le fjord et la mer. Au bout d’une bonne heure passée à se délasser dans l’eau, il faut se décider de reprendre la route. Nous faisons un petit stop pour voir le bateau Gardar. Contraire à ce que l’on pourrait penser, ce bateau mis à l’eau en 1912, ne s’est pas échoué involontairement lors d’une tempête. A l’origine, il était utilisé pour la chasse à la baleine, mais dans le milieu des années soixante il fut utilisé pour une pêche plus classique. Au fils des années et des différents propriétaires, il devint de moins en moins rentable et surtout vieillissant. En 1981, ses membres d’équipage, ont volontairement échoué le bateau sur cette plage au lieu de le saborder en pleine mer ou de l’abandonner dans un port.
Ce lieu, comme l’épave du DC3 dans le sud, est prisé par les photographes. Il faut dire qu’il est surprenant de voir cette épave posée sur cette bande de sable au détour d’un virage. Il est possible de bivouacquer sur ce grand parking au pied bateau, mais nous décidons de continuer un peu notre route.
L’arrivée sur la grande plage de Rauðasandur se fait par une route gravel avec beaucoup de nids de poule et par une belle descente, avec des parties à plus de 15-20%. La vue est grandiose sur la cette baie de sable. Nous profitons du temps encore clément pour se balader sur cette grande plage. On peut lire sur certain récits ou guides que le sable est de couleur rougeâtre ou orangé. Honnêtement, ce n’est pas vraiment le cas, c’est le flux et reflux de la marée qui inonde cette grande plage, rendant le sable humide, qui donne cette couleur plutôt orangé à la plage. Quant aux phoques qui sont soit disant présent vers le camping, nous ne les avons pas vu…..
Pour profiter de cet endroit, on peut se diriger vers la droite en arrivant après environ 3-4 km, on peut se garer sur un petit parking. Une marche d’environ 15mn à travers les prés permet l’accès à la plage. L’autre solution est de diriger vers la gauche, en direction du camping, dans ce cas l’accès à la plage est quasi immédiat.
Dans les deux cas, cette grande plage de sable d’une dizaine de kilomètres de long avec les montagnes en arrière-plan est un coin à ne pas manquer. L’idéal est d’y passer la nuit pour profiter du coucher du soleil.
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Re: Voyage 2018 En Islande avec Obelix (B90 4x4)
Salut à tous
Ah oui, des endroits plus sauvages c'est cool.
Nous allons poser une question sans doute bête....
Pas d'arbre pas de forêt en Islande ?
Ah oui, des endroits plus sauvages c'est cool.
Nous allons poser une question sans doute bête....
Pas d'arbre pas de forêt en Islande ?
Si tout le monde avait été contre l'évolution, on serait encore dans les cavernes à téter des grizzlys domestiques. de Boris Vian
Re: Voyage 2018 En Islande avec Obelix (B90 4x4)
Effectivement, il n'y a pas beaucoup d'arbre en Islande. De plus, les rares ne sont pas très grand, ce n'est pas les grandes forêts Norvégiennes. Un blague Islandaise dit "Si tu es perdu en forêt , lève toi et tu retrouveras ton chemin"Famille Cromagnon a écrit :Pas d'arbre pas de forêt en Islande ?
Il semblerait qu'au 9ème siècle, avant que les vikings viennent sur place, la forêt représentée 40% de la surface de l'ile. Les arbres ont été coupé pour faire place aux pâturages, et le bois a été utilisé pour chauffer leurs maisons. L’érosion des sols n'a pas permis une repousse normale des arbres, le massif forestier est tombé à 1% de la surface dans les année 50. Un vaste programme de reforestation a été mis en place, mais la tache est longue, actuellement la surface du massif forestier est de 2%.
Ce qui a été fait la les vikings il y a environ 1000 ans en Islande, n'est il pas en train de se reproduire mais à une plus vaste échelle sur notre jolie planète.....
Cela s'appelle le "Jour du dépassement", en 2018 c'était le 1 Aout. Ça correspond à la date de l’année à partir de laquelle l’humanité est supposée avoir consommé l’ensemble des ressources que la planète est capable de régénérer en un an. Source Wiki: https://fr.wikipedia.org/wiki/Jour_du_d%C3%A9passement
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Re: Voyage 2018 En Islande avec Obelix (B90 4x4)
Salut à tous
Une bonne blague.
Mais c'est vrai que pour le reste, il serait judicieux que l'homme tienne compte des événements passés et évite de reproduire ses propres erreurs....
Tout comme l'île de Pâques ou les "363 Martyrs Bischnoïs".
Malheureusement, il reste peu de chance qu'il y parvienne....
On dirait que pour "l'Homme", la descendance ne prend pas forcément les qualités de ses ancêtres alors que les insectes par exemple sont capables de s'adapter aux produits néfastes pour eux en une seule génération.....Cherchez l'erreur, l'insecte est-il plus intelligent que "l'Homme"...?
Ah...En plus la France n'est pass vraiment en bonne position sur le classement....
AlainB a écrit :........Un blague Islandaise dit "Si tu es perdu en forêt , lève toi et tu retrouveras ton chemin"......
Une bonne blague.
Mais c'est vrai que pour le reste, il serait judicieux que l'homme tienne compte des événements passés et évite de reproduire ses propres erreurs....
Tout comme l'île de Pâques ou les "363 Martyrs Bischnoïs".
Malheureusement, il reste peu de chance qu'il y parvienne....
On dirait que pour "l'Homme", la descendance ne prend pas forcément les qualités de ses ancêtres alors que les insectes par exemple sont capables de s'adapter aux produits néfastes pour eux en une seule génération.....Cherchez l'erreur, l'insecte est-il plus intelligent que "l'Homme"...?
Ah...En plus la France n'est pass vraiment en bonne position sur le classement....
Si tout le monde avait été contre l'évolution, on serait encore dans les cavernes à téter des grizzlys domestiques. de Boris Vian
Re: Voyage 2018 En Islande avec Obelix (B90 4x4)
J15
Aujourd’hui direction le point le plus occidental de l’Europe : Látrabjarg.
Après une dernière balade matinale sur la plage de Raudasandur ont prend la direction des falaises. En chemin, on ne résiste pas à l’envi de s’arrêter à Hnjótur. A cet endroit, un ancien fermier, aujourd’hui décédé, à stoker différents éléments d’avion. C’est un endroit assez atypique et surprenant. Nous reprenons la route, mais malheureusement le temps se gâte. Les nuages chargés de pluie remplacent les éclaircies. Nous décidons tout de mémé de continuer cette route gravel qui doit être magnifique sous un temps ensoleillé.
En chemin, il ne faut oublier de faire un petit crocher à la plage de Breiðavík, attention contrôle radar possible... A l’origine, nous devions faire une jolie petite balade le long de la falaise, mais le temps ne s’y prêtait pas. Nous avons tout de même pu profiter du lieu entre deux averses et voir les multiples oiseaux qui nichent sur les pans de cette falaise culminant à plus de 400 mètres à son point le plus haut.
Aujourd’hui direction le point le plus occidental de l’Europe : Látrabjarg.
Après une dernière balade matinale sur la plage de Raudasandur ont prend la direction des falaises. En chemin, on ne résiste pas à l’envi de s’arrêter à Hnjótur. A cet endroit, un ancien fermier, aujourd’hui décédé, à stoker différents éléments d’avion. C’est un endroit assez atypique et surprenant. Nous reprenons la route, mais malheureusement le temps se gâte. Les nuages chargés de pluie remplacent les éclaircies. Nous décidons tout de mémé de continuer cette route gravel qui doit être magnifique sous un temps ensoleillé.
En chemin, il ne faut oublier de faire un petit crocher à la plage de Breiðavík, attention contrôle radar possible... A l’origine, nous devions faire une jolie petite balade le long de la falaise, mais le temps ne s’y prêtait pas. Nous avons tout de même pu profiter du lieu entre deux averses et voir les multiples oiseaux qui nichent sur les pans de cette falaise culminant à plus de 400 mètres à son point le plus haut.
Re: Voyage 2018 En Islande avec Obelix (B90 4x4)
J16
Après une soirée et une nuit pluvieuse, nous voulons à nouveau profiter des Hotpot islandais.
Direction celui de Pollurinn, situé en bord de la route, l’accès est facile.
Il est constitué de trois bassins bétonnés avec 40 à 80 cm d’eau.
La température dans les trois bassins est différentes allant d’environ 38°c à plus de 45°C. Il semblerait que l’ensemble date du milieu des années 80. Cette année des travaux de maçonnerie étaient en cours, sans doute pour agrandir l’ensemble.
Quelques algues vertes sur la peinture bleu des bains peuvent rebuter les moins téméraires, mais une fois dans l’eau on oublie vite se petit désagrément esthétique. Quel plaisir de passer une d’eau chaude à une eau très chaudes, puis de prendre un douche « fraiche » pour replonger dans de l’eau chaude à nouveau. Le tout avec une magnifique vue sur le fjord La photo du lieu est issue du web et non de notre voyage. Les photos en ma possession sont avec mes enfants et je ne souhaite pas les exposer sur internet.
N’étant pas rassasier de ses baignades en pleine nature, nous nous dirigeons vers Reykjarfjörður pour faire quelques longueurs dans cette piscine « naturelle » de 16 mètres par 10. La source chaude qui alimente le bassin est située à quelques mètres. Des pierres ont été déposées afin de créer de petits bassins, attention la température dépasse plus de 40°C. L’endroit est magique, surtout que nous sommes seul pendant un bon moment et profitons de cet endroit hors du commun niché au fond d’un fjord.
Avant de se transformer en homme de l’Atlantide, nous rebroussons chemin afin de passer la nuit à Selárdalur, un autre endroit atypique de l’Islande.
Sur le bord de la route, nous voyons ce que l’on suppose un poteau électrique. Si des personnes peuvent me donner quelques précisions sur ce type d’installation, je suis preneur. Autre curiosité en chemin, nous croisons un camion projetant un mélange d’eau et de sel sur cette gravel road. Nous supposons le sel à un effet désherbant sur cette route en terre et évite à toute végétation de pousser. Si quelqu’un à une autre explication…. Nous arrivons après une petite trentaine de kilomètres sur la gravel road 619 à Selárdalur. Il faut compter une très grosse heure de trajet, voir deux, pour arriver à la fin de cette route. Attention, bien qu’accessible à tout véhicule, cette piste n’est pas très agréable, elle est jonchée de nids de poule. Mais les paysages fabuleux compensent largement la rugosité du trajet. Avant de bivouaquer, nous nous rapprochons des Islandais bichonnant leur Summer House afin de demander l’autorisation de se poser pour la nuit dans cet endroit idyllique. Ils sont agréablement surpris que nous leur demandions l’autorisation.
Nous avons de la chance dame nature nous offre une couché de soleil inoubliable. Cet endroit est très cher aux Islandais. Jadis, l’agriculture était florissante et la proximité de la mer permettait une pèche aisée. Cet endroit était un lieu très prospère de l’Islande
Mais, le 20 septembre 1900, tout a chaviré. Quatre bateaux ont été perdus en mer. Dix-sept hommes ont péri, laissant onze veuves, vingt-quatre sans père. L’un d’eux, Samúel Jónsson, à l'âge de 72 ans a décidé de suivre ses rêves et devenir un artiste. Il a créé des sculptures et des bâtiments à partir de béton.
Après une soirée et une nuit pluvieuse, nous voulons à nouveau profiter des Hotpot islandais.
Direction celui de Pollurinn, situé en bord de la route, l’accès est facile.
Il est constitué de trois bassins bétonnés avec 40 à 80 cm d’eau.
La température dans les trois bassins est différentes allant d’environ 38°c à plus de 45°C. Il semblerait que l’ensemble date du milieu des années 80. Cette année des travaux de maçonnerie étaient en cours, sans doute pour agrandir l’ensemble.
Quelques algues vertes sur la peinture bleu des bains peuvent rebuter les moins téméraires, mais une fois dans l’eau on oublie vite se petit désagrément esthétique. Quel plaisir de passer une d’eau chaude à une eau très chaudes, puis de prendre un douche « fraiche » pour replonger dans de l’eau chaude à nouveau. Le tout avec une magnifique vue sur le fjord La photo du lieu est issue du web et non de notre voyage. Les photos en ma possession sont avec mes enfants et je ne souhaite pas les exposer sur internet.
N’étant pas rassasier de ses baignades en pleine nature, nous nous dirigeons vers Reykjarfjörður pour faire quelques longueurs dans cette piscine « naturelle » de 16 mètres par 10. La source chaude qui alimente le bassin est située à quelques mètres. Des pierres ont été déposées afin de créer de petits bassins, attention la température dépasse plus de 40°C. L’endroit est magique, surtout que nous sommes seul pendant un bon moment et profitons de cet endroit hors du commun niché au fond d’un fjord.
Avant de se transformer en homme de l’Atlantide, nous rebroussons chemin afin de passer la nuit à Selárdalur, un autre endroit atypique de l’Islande.
Sur le bord de la route, nous voyons ce que l’on suppose un poteau électrique. Si des personnes peuvent me donner quelques précisions sur ce type d’installation, je suis preneur. Autre curiosité en chemin, nous croisons un camion projetant un mélange d’eau et de sel sur cette gravel road. Nous supposons le sel à un effet désherbant sur cette route en terre et évite à toute végétation de pousser. Si quelqu’un à une autre explication…. Nous arrivons après une petite trentaine de kilomètres sur la gravel road 619 à Selárdalur. Il faut compter une très grosse heure de trajet, voir deux, pour arriver à la fin de cette route. Attention, bien qu’accessible à tout véhicule, cette piste n’est pas très agréable, elle est jonchée de nids de poule. Mais les paysages fabuleux compensent largement la rugosité du trajet. Avant de bivouaquer, nous nous rapprochons des Islandais bichonnant leur Summer House afin de demander l’autorisation de se poser pour la nuit dans cet endroit idyllique. Ils sont agréablement surpris que nous leur demandions l’autorisation.
Nous avons de la chance dame nature nous offre une couché de soleil inoubliable. Cet endroit est très cher aux Islandais. Jadis, l’agriculture était florissante et la proximité de la mer permettait une pèche aisée. Cet endroit était un lieu très prospère de l’Islande
Mais, le 20 septembre 1900, tout a chaviré. Quatre bateaux ont été perdus en mer. Dix-sept hommes ont péri, laissant onze veuves, vingt-quatre sans père. L’un d’eux, Samúel Jónsson, à l'âge de 72 ans a décidé de suivre ses rêves et devenir un artiste. Il a créé des sculptures et des bâtiments à partir de béton.
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Re: Voyage 2018 En Islande avec Obelix (B90 4x4)
Bonjour Alain & Co.,AlainB a écrit :J16
Autre curiosité en chemin, nous croisons un camion projetant un mélange d’eau et de sel sur cette gravel road. Nous supposons le sel à un effet désherbant sur cette route en terre et évite à toute végétation de pousser. Si quelqu’un à une autre explication….
Le sel est hygroscopique et devrait garder la surface de la route humide.
http://icelandreview.com/de/news/2017/0 ... s-strassenAuf Schotterpisten sind Schafe häufig dabei anzutreffen, wie sie Salz von den Steinen lecken, und vor einem Auto nicht weichen. Das Salz wird von der Strassenmeisterei zur Staubbindung versprüht.
mit Grüßen aus Langenlonsheim
Beda
Hier gibt es die ganze Geschichte: Völlig B-ekloppt. Wir haben es schon wieder getan: Renault B110 4x4 Ponticelli Auf deutsch und mit Anmeldung.
Voici l'histoire complète : Totalement B-knocked out. Nous l'avons encore fait : Renault B110 4x4 Ponticelli En allemand et avec l'immatriculation.
Beda
Hier gibt es die ganze Geschichte: Völlig B-ekloppt. Wir haben es schon wieder getan: Renault B110 4x4 Ponticelli Auf deutsch und mit Anmeldung.
Voici l'histoire complète : Totalement B-knocked out. Nous l'avons encore fait : Renault B110 4x4 Ponticelli En allemand et avec l'immatriculation.
Re: Voyage 2018 En Islande avec Obelix (B90 4x4)
Effectivement, cela doit permettre d'avoir une piste humide donc qui lève moins la poussière. C'est une explication sans doute plus plausible que mon effet désherbant du sel.
Re: Voyage 2018 En Islande avec Obelix (B90 4x4)
J17
Nous reprenons la gravel road 60 qui s’élève sur les plateaux pour rejoindre la n°63. Ces « pistes » sont très roulante et ne présente aucune difficulté. Les paysages sont somptueux. Nous ne tardons pas de rejoindre le coin touristique du nord de l’Islande : la cascade de Dynjandi. L’endroit est grandiose, personnellement ma cascade préférée d’Islande. Malgré le nombre de personnes, l’endroit n’a pas encore succombé au tourisme de masse, pas de magasin de souvenirs, pas de restaurant ou d’hôtel. Nous continuons notre remontée vers le nord et tombons sur des travaux de construction d’un tunnel afin d’éviter le col entre Hrafnseyri et PINGEYRI.
Nous nous arrêtons à Hrafnseyri pour profiter de cette fin d’après-midi ensoleillé. Cet endroit est le village natal de Jón Sigurðsson, chef de file du mouvement pacifiste pour l'indépendance de l'Islande.
Sur la photo, on peut visualiser la grandeur de la cacade Dynjandi, à vol d’oiseau elle doit être à plus de 10 kilomètres de la prise de vue. Une nouvelle fois nous trouvons un joli petit bivouac en bord de mer.
Après une nuit passée au bord de l’eau, le réveil se fait sous le soleil.
Ce bout de terre au fin fond de l’Islande est vraiment reposant, nous flânons une partie de la matinée dans ce petit coin de paradis.
Nous reprenons la gravel road 60 qui s’élève sur les plateaux pour rejoindre la n°63. Ces « pistes » sont très roulante et ne présente aucune difficulté. Les paysages sont somptueux. Nous ne tardons pas de rejoindre le coin touristique du nord de l’Islande : la cascade de Dynjandi. L’endroit est grandiose, personnellement ma cascade préférée d’Islande. Malgré le nombre de personnes, l’endroit n’a pas encore succombé au tourisme de masse, pas de magasin de souvenirs, pas de restaurant ou d’hôtel. Nous continuons notre remontée vers le nord et tombons sur des travaux de construction d’un tunnel afin d’éviter le col entre Hrafnseyri et PINGEYRI.
Nous nous arrêtons à Hrafnseyri pour profiter de cette fin d’après-midi ensoleillé. Cet endroit est le village natal de Jón Sigurðsson, chef de file du mouvement pacifiste pour l'indépendance de l'Islande.
Sur la photo, on peut visualiser la grandeur de la cacade Dynjandi, à vol d’oiseau elle doit être à plus de 10 kilomètres de la prise de vue. Une nouvelle fois nous trouvons un joli petit bivouac en bord de mer.
Re: Voyage 2018 En Islande avec Obelix (B90 4x4)
Salut,
pour le "poteau electrique" , c'est une ancienne antenne radio.
J''y suis passeé cet été.
en parlant d'antenne, tu a du croiser celle la à Hellissandur , 412 m de haut quand même !! C'est le pylone entier qui est l'antenne. ( Ancien emetteur LORAN C )
Bruno
pour le "poteau electrique" , c'est une ancienne antenne radio.
J''y suis passeé cet été.
en parlant d'antenne, tu a du croiser celle la à Hellissandur , 412 m de haut quand même !! C'est le pylone entier qui est l'antenne. ( Ancien emetteur LORAN C )
Bruno
Re: Voyage 2018 En Islande avec Obelix (B90 4x4)
Tu y étais sur quelle période. En tout cas, je n'ai pas croisé d'Unimog Rougebcmog a écrit :J''y suis passeé cet été.
Effectivement, sacrée antenne, celle la je ne l'ai pas confondu avec un poteau électrique.bcmog a écrit :en parlant d'antenne, tu a du croiser celle la à Hellissandur , 412 m de haut quand même !! C'est le pylone entier qui est l'antenne.
Re: Voyage 2018 En Islande avec Obelix (B90 4x4)
J'étais en Islande du 26/07 au 16/08, c'était notre 4 ieme fois l'été.. Toujours aussi magique.. Mais de plus en plus de touristes autour de Reykjavik... C'est plus le golden circle, c'est le golden circus....
Bruno
Bruno