Forum BMH

Ah... En effet!

En terme de gabarit c'était l'idée, maintenant le Cabstar, j'ai moyen confiance (un 508 de 50 ans, pour ce que je fais parait bien plus robuste)

C'est sans regrets donc, mais merci

J.

Et pas une seule petite photo de ce 508?!

Faudrait que je me pose pour voir la procédure pour les poser... hébergement etc...
Je passe sur l'ordi le week-end... et encore...
Mais promis, je mettrais...

Lors de l’écriture, sous l’onglet aperçu/envoyer il y a ‘’fichier joint’’.
Cliquer sur fichier joint,
Cliquer sur ajouter les fichiers,
Cliquer sur photothèque ou prendre une photo ou un fichier selon le cas,
Choisis ton dossier, Puis clique sur insérer dans le message,
C’est fini

Pfff, faut tout faire ici

Vouala!

Merci <3

Bin voilà, tu avances

Bon, pour en revenir à la motricité, un simple bloc ‘’d’if’’ et des pneus structurés devraient déjà repousser les limites du bestiau non?!

Ensuite, restera toujours le ventral et le PAF pour certains zccés, et là une rehausse serait à envisager

J’ai possédé le même, incassable mécaniquement, mais la corrosion…

Merci (même si c'est pas joli de se moquer ,

En effet... la corrosion et le faisceau élec, c'est bien simple, y'a plus rien qui fonctionne

Tu crois que çà existe les blocs diff la dessus? Et pour la réhausse? Caler? Changer les ressorts?

Je reste à l'affut concernant des ponts, je me demande quand même si je devrais pas me pencher sur les pièces 4X4 Renault/Iveco/Scam


J.

Je ne me moque pas, je taquine

Concernant ce blocage de différentiel, je ne serais pas surpris que chez Mercedes ça ait existé, des recherches tu devras entamer

Ensuite, un treuil amovible avant/arrière ça devrait te sécuriser pour bien moins cher et immédiat à mettre en œuvre ?!

Jedebor_Houston a écrit : ↑11 févr. 2022 10:28 ...

Merci enfin de m'apprendre mon métier! Il fallait m'aider, j'étais fortement en difficultés, comme un con, je faisais comme on a toujours fait jusqu'à la seconde guerre mondiale : monter des charpentes en bois vert, je savais pas qu'il fallait pas faire çà!!!

Donc oui, les chenes fraîchement abattus peuvent frôler la tonne au m3 surtout parfois les 2 premiers mètres de hauteur (qui sont très denses car tiennent tout l'arbre mais sont plutôt utilisés pour le mérain ou le parquet), le reste oui, tu as compris, c'est environ 800kg/m3.

Tu sais, monter des charpentes en bois vert, c'est un peu comme rouler sans CT : ton assurance répond pas s'il t'arrive une merde, pourtant çà marche, c'est fou non!

...

l'actualité du weekend m'a rappelé cette discussion, puisque, comme beaucoup je m'en remettais aux pseudo spécialistes qui disaient que refaire la charpente de notre dame en 5ans serait tout bonnement impossible par ce que quand bien même nous aurions les arbres disponibles et coupés il faudrait déjà les faire sécher.... or la charpente ou "foret" comme ils se plaisent a la nommer fut refaite en bois vert si j'ai bien suivi.

après Quesque que celà suppose en terme de contrainte d'assemblage ou de vieillissement dans le temps je l'ignore totalement... a part le fait qu'elle est bien plus lourde actuellement, qu'elle ne sera une fois "seche" .
bon voilà on est loin des camions mais il n'est pas interdit de profiter des connaissances des uns et des autres pour s'informer

Haha Hippo, j'aime bien ta démarche

En effet, la légende urbaine des charpentes travaillées et assemblées avec du bois séché est pugnace !
Le principe d'une charpente est simple et complexe à la fois.
Simple car l'idée est de créer un assemblage qui va jouer en tension, c'est à dire que les bois vont "tirer" les uns sur les autres exerçant ainsi une tension dans le système.
Le jeu du charpentier est de jouer avec ces tensions en les annulant le mieux possible afin que ces tensions ne se libèrent pas dans leur support.

Là où ça se complexifie, c'est que suivant le bois, la portée, la forme des fermes, la qualité des assemblages, le système de couverture ou encore la prise en compte du support, le travail diffère, sinon ça serait trop facile
Toujours est-il que le travail du bois en charpente se fait avec du bois vert car plus tendre à travailler, aussi bien pour les équarisseurs ou les scieurs de long.
Mais c'est surtout que lors du séchage, la fibre du bois se resserre et met tout l'ouvrage en tension.
C'est pour cela que sur certains assemblages, les charpentiers laissent du jeu dans les assemblages pour prévenir ce phénomène.

Au final, le travail du bois sec est destiné au travail de la menuiserie essentiellement ou pour d'autres activités bien spécifiques.