La réponse de Marcus en résumé:
Il y a une grande différence entre le français écrit ou on peut se prendre pas mal de temps à réfléchir et la langue parlée avec toutes ses facettes et surtout que , selon région, on parle assez vite. Commander la baguette et les chocolatines chez le boulanger est une chose qui lui va encore, mais sur un tel rv discuter des pours et des contres d'un blocage de différentiel lui parait quand-même trop difficile.
Mon opinion personelle sur les rv internationaux:
C'est pas gagné tant qu'il y a certaines craintes des uns et des autres et tant qu'il y en a que quelques uns qui s'aventurent chez les autres. S'il y a sur place quelqu'un qui fait l'interprète il y en a éventuellement plus qui risquent de regarder de l'autre coté, mais franchement qui a envie d'aller chez un tas de gens, même s'ils sont sympa, qu'on comprend pas trop bien. Se débrouiller sur un voyage c'est une chose, se chercher des relations ou mêmes des potes d'une autre nation en est une deuxième.
Déjà qu'a l'est de la France ou en IDF tout le monde ne connait pas le terme de chocolatine (c'était mon choix en haut), alors imaginez un étranger.
C'est pas qu'il faut parler correctement une autre langue, mais faut quand-même une base assez bonne pour suivre un discours.
Si tout le monde allait faire le pas et apprendre un peu une deuxième langue, le monde serait plus compréhensible pour tous. Des fois il est aussi un peu difficile de faire le pas et d'oser parler. Assez souvent alors on remarque que le vis à vis se gène pas trop si on fait des fautes.
Maintenant vous allez dire que j'ai bon parler de tenter ces approches et vous avez un peu raison. C'est l'avantage si on est situé entre les cultures et qu'on visite aussi bien d'un coté et de l'autre.